Chronique : Grisha T3 ; L’Oiseau de Feu

Le monstre s’appelait Izumrud, le grand serpent.

Leigh Bardugo

Ca y est, l’heure du combat final a sonné. Alina, après être retournée à Ravka pour reprendre la ville des mains du Darkling, est devenue une vraie sainte acclamée par le peuple. Bref, tout lui sourit, mis à part peut être sa relation avec Mal qui est vraiment au plus mal. Son nouveau statut de sainte et ses relations avec le Darkling et Nikolai pour ne citer qu’eux n’ont pas aider à ramener le beau temps dans ce couple. Mais dorénavant, Alina, même cachée dans les sous-sols de la cathédrale, doit ignorer ses sentiments meurtris et se concentrer sur une chose : le troisième amplificateur, celui qui lui permettra de vaincre une bonne fis pour toute le Darkling et de ramener la paix et la prospérité dans Ravka (ce qui n’est pas chose aisé, surtout avec les problèmes régaliens du pays (bref, rien ne va plus comme on dirait). Ainsi, accompagnée du toujours autant fabuleux Nikolai, de Mal et de quelques autres proches compagnons, elle s’aventure pour tourner la mystérieuse dernière partie de son pouvoir qui l’apelle intensément. Mais pour l’obtenir, notre jeune héroïne va devoir faire de nombreux sacrifices…

Ca y est c’est la fin de cette trilogie qui nous a fait découvrir la plume absolument divine de cette auteur qui n’en est pas moins. Nous allons enfin connaitre la fin tant attendue de cette guerre, qui de la lumière ou des ténèbres va enfin pouvoir triompher… Mais avant cela, le lecteur doit passer par de nombreuses étapes afin de pouvoir arriver à cet élément (et je vais vous en parler bien sur, et comme de bien entendu, je vais tout faire pour que ce soit sans spoil) Alors, on ne peut pas dire du tout que le lecteur a le temps de n’ennuyer avant d’arriver à la fin bien au contraire. On passe d’une situation plus ou moins stable au début du roman (enfin, plutôt celle qu’on a laissé en place à l’issue du tome 2) pour repartir en vadrouille et découvrir toujours plus le pays, mais aussi les légendes qui accompagnent certaines régions. Selon moi, l’apport de ces légendes au récit le rend vraiment plus vivant et lui permet de devenir pratiquement réel. Quand aux événements relatés, ils s’enchaînent toujours avec le même rythme effréné et les plot twist restent absolument incroyables et inattendus (NIKOLAI !!!) Alors que d’autres deviennent quand même un peut gros (là je pense principalement au troisième amplificateur que j’ai un peu vu venir malheureusement) Et c’est là que ça se complique : un fois passé ce moment là, on arrive à la parie finale du roman et c’est la déception. Je trouve que la bataille finale, celle de l lumière contre les ténèbres (ça fait quand même une superbe métaphore) a été un peu bâclée et qu’o passe beaucoup trop vite dessus, comme si ce n’était qu’une simple formalité. Du coup, le lecteur ressort brutalement de l’univers dans lequel il était plongé en protestant parce qu’il n’a pas vraiment pu profiter de la bataille finale, d’autant plus que quelques questions restent en suspend (bon après il fat en garder un peu pour le reste de la série…) Quand au grand final, je ne l’ai pas aimé du tout : le mot de la fin m’a beaucoup déçue car la situation finale était bien trop gnangnan à mon goût.

Bref, une belle lecture malgré un final décevant

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