Chronique : Les Colonnes du temps T3 ; Odyssée

Bonjour mes lecteurs ! Aujourd’hui je vous parle du tome 3 de la trilogie des Colonnes du temps de John Renmann (merci à lui pour l’envoi, encore et toujours)

Sérieusement, je n’en reviens pas que ce soit déjà la fin. Certes, j’ai essayé de le faire durer le plus possible (merci emploi du temps bien rempli), mais arrive un moment où il faut que l’histoire se termine. Et je dois avouer que j’adore beaucoup trop le final que nous a offert l’auteur pour cette trilogie. Pour une fois, je n’ai rien à redire, il me parait parfait (et il laisse place à une possible suite pour une autre saga, que rêver de mieux) : chaque élément est revenu plu ou moins à sa place et chaque petit détail est expliqué (le détail du cube dans l’ordinateur est quand même incroyable, je ne l’avais pas vu venir du tout !) Mais plutôt que de vous spolier la fin (chose que je risque fort de faire si je continue sur ce terrain glissant-ci) je vais reprendre mon avis là où je l’avais laissé la dernière fois.

La terrible guerre pour l’Azurito a causé des pertes dans les deux camps.
Face à la puissance grandissante de l’Orogo, Patrick Schimmer sait qu’il doit réveiller Gaïa, l’esprit de la Terre.
Il se résout à accompagner les Zheenons jusqu’au plateau du Larzac, en quête du bloc sacré, l’unique porte menant à la déesse-mère.
Mais, ses amis considérablement affaiblis, Patrick ne devra compter que sur lui-même et sa foi en l’espèce humaine.
Sa route croisera celle d’ennemis tous aussi redoutables les uns que les autres : qui est donc ce mystérieux homme au masque de pierre ? Qui se cache sous l’armure de la terrible walkyrie ? Et le très vieil homme, quelles sont donc ses intentions ?

Une chose qui est absolument divine et qu’il faut saluer, c’est quand même le rollercoaster des émotions que nous offre cet opus. La plume de l’auteur est faite de telle manière que chaque rebondissement que vit Patrick Schimmer, chaque découverte (et les Dieux savent qu’il y en a beaucoup) font vibrer le lecteur au plus profond de lui même. Plusieurs fois lors de ma lecture, je me suis surprise à trembler, à crier (quand même discrètement, je ne suis pas toute seule et je ne veux pas qu’on doute de ma santé mentale) et à vibrer pour ces personnages. Et pour ça, je baisse mon chapeau à l’artiste qui arrive, même au bout du troisième tome à conserver des personnages toujours aussi attachants et qui continuent de nous étonner.

En parlant de renouvellement, on peut dire que ce tome-ci nous en sert. C’est toujours un peu mon angoisse quand je lis une série : j’ai toujours un peu peur que l’auteur ne se renouvelle pas suffisamment et qu’il se repose sur ces lauriers (sensation qui se renforce lorsque, comme avec cette trilogie), j’enchaîne les tomes sans m’arrêter ou presque. Mais là, pas du tout ! L’histoire est drastiquement différente du tome 1 (comme je l’avais déjà dit pour le tome précédent) et même s’il reprend un peu les idées du second tome (en même temps, il s’agit quand même de la suite directe) l’histoire est toujours pleine de rebondissements et ne cesse de nous étonner dans toutes ses dimensions. Notre petit cœur a d’ailleurs bien du mal à tenir face à toutes ces révélations qui ne cessent à aucun moment jusqu’au grand final qui nous offre un magnifique espoir dans l’humanité.

les points forts

  • Une lecture à ne manquer sous aucun prétexte
  • Le final fabuleux pour une trilogie tout aussi merveilleuse
  • Des personnages humains et attachants qui donnent


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